Un jour, sur la page Facebook de The Minimalists, j’ai vu cette photo :
Moi qui cherchais à faire de l’ordre, à désencombrer notre appart’ sans que cela me gâche des jours entiers, je me suis dit que c’était un bon moyen de le faire. Cependant, comme j’ai deux filles et un mari, il fallait réussir à les convaincre pour que cela soit un défi familial, un jeu quotidien. Je n’ai pas attendu, ni pris des gants, le soir même, j’ai balancé le projet. J’y voyais clairement un « intérêt personnel » du moment que je n’allais pas devoir, toute seule, me coltiner cette tâche ingrate qu’est le « tri ». Sadique la mère, non ?
Avant de leur en parler, j’avais quand même été regarder sur le site The Minimalists en quoi consistait exactement ce petit jeu sympathique, le #minsgame. Ouai, alors bon, 30 jours c’est une chose, mais 30 jours à choisir chaque jour des objets s’en est une autre…. et à se séparer le 1er jour d’un objet, le 2ème de 2, le 15ème de 15 et le dernier 30 s’en est encore une autre !
Donc, une fois la surprise passée, mes filles ont tout de suite A-D-O-R-É l’idée de se séparer, petit à petit, d’habits, objets, livres, peluches et autres choses qui encombrent leurs chambres. Elles y ont vu un bon moyen d’avoir plus d’espace, de pouvoir déplacer leurs meubles, bref de se faire des petits coins sympas et plus aérés. L’Homme, lui, a dit « Ahh bin oui, j’ai des habits à donner, ça tombe bien ! » mais … tsssstssssss, ça ne va pas suffire ! Non non non ! Parce qu’au total, mon Coco, ce sont 465 objets divers et variés que nous allons sortir de notre petit nid douillet !
ALLEZ, ON COMMENCE.
Le premier jour, ma fille de 11 ans m’a amené un gros crayon en bois : « Tiens Maman, c’est mon premier objet pour le défi. Il ne fonctionne pas bien et est trop gros pour que je le tienne comme il faut. Du coup, ça ne sert à rien que je le garde ! »
Le deuxième jour, ma petite fille est venue avec un lot de jouets à dessiner. Le troisième, elles m’apportent un doudou, le 4ème des poupées, le 6ème des petits jouets, puis le 8ème aussi, le 9ème encore et le 14ème c’est la totale ! On trie une collection de peluches qui squattaient le dessus de l’armoire et prenaient la poussière depuis des lustres ! Elles redécouvrent des doudous oubliés, se rappellent qui les leur a offerts et gardent ceux qui leur font plaisir ! Elles se sentent vraiment investies d’une mission et prennent un réel plaisir à trier, décider de donner, de vendre ou de jeter des objets. Elles se rendent également compte de la quantité invraisemblable de choses que nous possédons malgré tout !
Les premiers jours, j’étais très impatiente de commencer, de jeter, de trier, puis gentiment une certaine routine s’est installée. On y va maintenant par étape, par armoire, tiroir ou partie de chambre !
Je réalise également qu’il y a différents types d’objets qui ont envahi notre quotidien :
Ceux qu’on n’a pas utilisé depuis longtemps, voire trèèèèès longtemps, ceux qui ne nous servent définitivement à rien, à plus rien. Ces objets-là ne soulèvent aucune question, il est très vite clair qu’on va s’en séparer. Par exemple, les 25 paires de baguettes retrouvées dans un tiroir. Oui on mange japonais à l’occasion, mais jusqu’à posséder autant de baguettes… D’ailleurs comment ça se fait qu’on en ait autant ???? Pareil pour les habits, la vaisselle, les affaires de sport, etc, etc. Avec le temps, on entasse sans le vouloir des tonnes de choses qui finalement nous étouffent sans nous apporter quoi que ce soit.
Ceux qu’on utilise de temps à autre, qui peuvent nous être utiles à l’occasion et dont on n’a pas envie de se débarrasser. Mais se demander s’ils nous apportent quelques chose permet de décider si oui ou non on les garde. En ai-je vraiment besoin ? Puis-je le remplacer par autre chose que j’ai déjà et que j’utilise plus ? Puis-je faire sans ? Quelques questions simples peuvent nous aider dans la démarche. Et puis si on hésite trop c’est peut-être que ce n’est tout simplement pas le bon moment de s’en séparer !
Ceux qu’on garde parce qu’ils nous procurent un certain bonheur, parce qu’ils font partie de nos vies, de nos souvenirs. Et ceux-là, on ne va pas s’en séparer ! Ils nous sont importants et finalement ce sont en grande partie ces objets-là qui devraient occuper notre espace. Des habits qu’on aime et dans lesquels on se sent bien, des livres qu’on apprécie, des chaussures qui sont jolies et confortables, des stylos qui fonctionnent et non qui nous font râler à chaque fois qu’on les utilise, des tableaux qui nous permettent de nous évader, etc, etc. Finalement, les objets qui nous entourent doivent nous procurer du bonheur, de la joie, pour que nous soyons heureux chaque jour ! Ça peut paraître ballot, mais plus j’avance dans cette démarche et plus j’aspire à ne posséder que des choses qui me rendent heureuses ! Bon ok, peut-être pas la brosse des toilettes ou le bac à chaussures de l’entrée, mais vous voyez ce que je veux dire !
Voilà un premier aperçu de nos 15 premiers jours du défi minimaliste ! Jusque-là, la mission est remplie puisque nous nous sommes séparés de 120 objets ! Plus que 345 …. héhé !!!
Dans la deuxième partie de cet article, que j’écrirai une fois le défi terminé – et relevé j’espère – je vous proposerai des adresses et des lieux où donner vos objets, des trucs et astuces pour relever vous aussi le défi et, bien entendu, notre ressenti et bilan à tous les quatre après ce mois et ces 465 objets en moins dans notre appart !
Recette testée et approuvée par un jury composé d’enfants ET d’adultes. Bon, je n’ai quand même pas laissé ces zouaves (petits et grands) dévorer le dessert tel quel, c’était donnant-donnant : une cuillère à soupe de poire coupée en petits cubes, pour une cuillère à soupe de crème au chocolat. Faut pas déconner quand même …
Simple et assez rapide, cette recette, tirée d’un magazine Elle à Table, est à garder sous le coude pour toutes les occasions. Sans huile de palme et avec une quantité limitée de sel si on le désire, ces crackers feront en effet aussi bien l’affaire pour la récré des enfants que pour l’apéro des parents …
Bon, oui, c’est vrai, il y a des gens qui s’en lassent, qui ne peuvent plus la voir, même en photo, après 3 semaines dans ce magnifique pays qu’est la Grèce, mais perso, je l’adore, oui je kiffe la salade grecque ! J’en mange une, voire deux par jour, ça ne me pose pas de …
On a plutôt l’habitude de le manger avec la chasse, cuit avec des pommes et des oignons, mais comme le chou rouge est présent sur les étales tout au long de l’année, voici une recette qui sort de l’ordinaire et qui peut se déguster en toute saison. Avec quelques ingrédients basics et du vinaigre de …
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Mon défi minimaliste – Un mois, 465 objets en moins
PREMIÈRE PARTIE.
Un jour, sur la page Facebook de The Minimalists, j’ai vu cette photo :
Moi qui cherchais à faire de l’ordre, à désencombrer notre appart’ sans que cela me gâche des jours entiers, je me suis dit que c’était un bon moyen de le faire. Cependant, comme j’ai deux filles et un mari, il fallait réussir à les convaincre pour que cela soit un défi familial, un jeu quotidien. Je n’ai pas attendu, ni pris des gants, le soir même, j’ai balancé le projet. J’y voyais clairement un « intérêt personnel » du moment que je n’allais pas devoir, toute seule, me coltiner cette tâche ingrate qu’est le « tri ». Sadique la mère, non ?
Avant de leur en parler, j’avais quand même été regarder sur le site The Minimalists en quoi consistait exactement ce petit jeu sympathique, le #minsgame. Ouai, alors bon, 30 jours c’est une chose, mais 30 jours à choisir chaque jour des objets s’en est une autre…. et à se séparer le 1er jour d’un objet, le 2ème de 2, le 15ème de 15 et le dernier 30 s’en est encore une autre !
Donc, une fois la surprise passée, mes filles ont tout de suite A-D-O-R-É l’idée de se séparer, petit à petit, d’habits, objets, livres, peluches et autres choses qui encombrent leurs chambres. Elles y ont vu un bon moyen d’avoir plus d’espace, de pouvoir déplacer leurs meubles, bref de se faire des petits coins sympas et plus aérés. L’Homme, lui, a dit « Ahh bin oui, j’ai des habits à donner, ça tombe bien ! » mais … tsssstssssss, ça ne va pas suffire ! Non non non ! Parce qu’au total, mon Coco, ce sont 465 objets divers et variés que nous allons sortir de notre petit nid douillet !
ALLEZ, ON COMMENCE.
Le premier jour, ma fille de 11 ans m’a amené un gros crayon en bois : « Tiens Maman, c’est mon premier objet pour le défi. Il ne fonctionne pas bien et est trop gros pour que je le tienne comme il faut. Du coup, ça ne sert à rien que je le garde ! »
Le deuxième jour, ma petite fille est venue avec un lot de jouets à dessiner. Le troisième, elles m’apportent un doudou, le 4ème des poupées, le 6ème des petits jouets, puis le 8ème aussi, le 9ème encore et le 14ème c’est la totale ! On trie une collection de peluches qui squattaient le dessus de l’armoire et prenaient la poussière depuis des lustres ! Elles redécouvrent des doudous oubliés, se rappellent qui les leur a offerts et gardent ceux qui leur font plaisir ! Elles se sentent vraiment investies d’une mission et prennent un réel plaisir à trier, décider de donner, de vendre ou de jeter des objets. Elles se rendent également compte de la quantité invraisemblable de choses que nous possédons malgré tout !
Les premiers jours, j’étais très impatiente de commencer, de jeter, de trier, puis gentiment une certaine routine s’est installée. On y va maintenant par étape, par armoire, tiroir ou partie de chambre !
Je réalise également qu’il y a différents types d’objets qui ont envahi notre quotidien :
Ceux qu’on n’a pas utilisé depuis longtemps, voire trèèèèès longtemps, ceux qui ne nous servent définitivement à rien, à plus rien. Ces objets-là ne soulèvent aucune question, il est très vite clair qu’on va s’en séparer. Par exemple, les 25 paires de baguettes retrouvées dans un tiroir. Oui on mange japonais à l’occasion, mais jusqu’à posséder autant de baguettes… D’ailleurs comment ça se fait qu’on en ait autant ???? Pareil pour les habits, la vaisselle, les affaires de sport, etc, etc. Avec le temps, on entasse sans le vouloir des tonnes de choses qui finalement nous étouffent sans nous apporter quoi que ce soit.
Ceux qu’on utilise de temps à autre, qui peuvent nous être utiles à l’occasion et dont on n’a pas envie de se débarrasser. Mais se demander s’ils nous apportent quelques chose permet de décider si oui ou non on les garde. En ai-je vraiment besoin ? Puis-je le remplacer par autre chose que j’ai déjà et que j’utilise plus ? Puis-je faire sans ? Quelques questions simples peuvent nous aider dans la démarche. Et puis si on hésite trop c’est peut-être que ce n’est tout simplement pas le bon moment de s’en séparer !
Ceux qu’on garde parce qu’ils nous procurent un certain bonheur, parce qu’ils font partie de nos vies, de nos souvenirs. Et ceux-là, on ne va pas s’en séparer ! Ils nous sont importants et finalement ce sont en grande partie ces objets-là qui devraient occuper notre espace. Des habits qu’on aime et dans lesquels on se sent bien, des livres qu’on apprécie, des chaussures qui sont jolies et confortables, des stylos qui fonctionnent et non qui nous font râler à chaque fois qu’on les utilise, des tableaux qui nous permettent de nous évader, etc, etc. Finalement, les objets qui nous entourent doivent nous procurer du bonheur, de la joie, pour que nous soyons heureux chaque jour ! Ça peut paraître ballot, mais plus j’avance dans cette démarche et plus j’aspire à ne posséder que des choses qui me rendent heureuses ! Bon ok, peut-être pas la brosse des toilettes ou le bac à chaussures de l’entrée, mais vous voyez ce que je veux dire !
Voilà un premier aperçu de nos 15 premiers jours du défi minimaliste ! Jusque-là, la mission est remplie puisque nous nous sommes séparés de 120 objets ! Plus que 345 …. héhé !!!
Dans la deuxième partie de cet article, que j’écrirai une fois le défi terminé – et relevé j’espère – je vous proposerai des adresses et des lieux où donner vos objets, des trucs et astuces pour relever vous aussi le défi et, bien entendu, notre ressenti et bilan à tous les quatre après ce mois et ces 465 objets en moins dans notre appart !
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Recette testée et approuvée par un jury composé d’enfants ET d’adultes. Bon, je n’ai quand même pas laissé ces zouaves (petits et grands) dévorer le dessert tel quel, c’était donnant-donnant : une cuillère à soupe de poire coupée en petits cubes, pour une cuillère à soupe de crème au chocolat. Faut pas déconner quand même …
Des crackers tellement craquants !
Simple et assez rapide, cette recette, tirée d’un magazine Elle à Table, est à garder sous le coude pour toutes les occasions. Sans huile de palme et avec une quantité limitée de sel si on le désire, ces crackers feront en effet aussi bien l’affaire pour la récré des enfants que pour l’apéro des parents …
La salade grecque
Bon, oui, c’est vrai, il y a des gens qui s’en lassent, qui ne peuvent plus la voir, même en photo, après 3 semaines dans ce magnifique pays qu’est la Grèce, mais perso, je l’adore, oui je kiffe la salade grecque ! J’en mange une, voire deux par jour, ça ne me pose pas de …
Salade de chou rouge japonisée
On a plutôt l’habitude de le manger avec la chasse, cuit avec des pommes et des oignons, mais comme le chou rouge est présent sur les étales tout au long de l’année, voici une recette qui sort de l’ordinaire et qui peut se déguster en toute saison. Avec quelques ingrédients basics et du vinaigre de …